Environnement & Nature

En pleine nuit, la chauve-souris est capable de repérer un insecte à coup sûr. Un scientifique italien du 18ème siècle a tenté de lui bander les yeux. Résultat : elle chassait toujours avec autant de facilité. Eh oui, la chauve-souris « voit »… mais avec ses oreilles !

Près d’un siècle après sa disparition, la science offre un espoir de désextinction au tigre de Tasmanie. Retour sur l’histoire de cet animal emblématique.

L’araignée dispose d’une mini-usine de filature dans son abdomen. Elle peut produire des qualités de fils différents : épais, fins, collants, lisses… Elle tisse des fils simples, doubles ou triples, quadruples même ! Et chaque fil a sa fonction.

Il passe son temps à cacher des graines ! 50 000 par an dans 10 000 cachettes. Et quand il part à leur recherche, il utilise une sorte de GPS intégré. 

Lorsque l’abeille éclaireuse se met à danser, ce n’est pas une coquetterie : elle donne à ses congénères le chemin à suivre où le pollen les attend. Direction, distance, qualité du pollen : le langage corporel de l’abeille explique tout. Une véritable carte au trésor !

L’Antarctique est une terre d’élection pour la découverte de météorites, mais cette chasse aux trésors se trouve menacée par le changement climatique. Explications.

Pour conquérir sa belle, ce poisson de douze centimètres est capable de sculpter des rosaces parfaitement symétriques au fond des océans. Voici le Léonard de Vinci des fonds marins.

Lorsque la pince de la crevette pistolet claque, un jet d’eau jaillit à 100 km/heure et produit une détonation de 250 décibels. Voici le véritable cow-boy des fonds marins.

Une nouvelle méthode d’analyse de qualité de l'eau permet désormais d’identifier la source de polluants présents dans l’eau douce, grâce à l’analyse de la matière organique dissoute. 

C’est un mou qui a la vie dure : crevettes, crabes et petits poissons squattent ses intestins et des mollusques s’accrochent en plus à son dos. Alors quand il n’en peut vraiment plus, il envoie tout le monde dehors !

Chez les mammifères, les mâles sont plus imposants que les femelles. Vraiment ? Cette théorie communément admise, en vigueur depuis plus d’un siècle, serait en réalité fausse, au moins en partie.

Les territoires régis par l’Homme sont des écosystèmes qui reposent sur des interactions constantes. Peuvent-ils s’inspirer du vivant pour réussir leur transition écologique et sociale ? Des expériences locales sont en cours.